J’ai testé les nouveaux School Peps Infinity de Maped

De quoi s’agit-il ?

 

Il s’agit d’un nouveau type de crayon de couleur 100% mine. Pas de bois juste une mine biseautée fine d’un côté et large pour les aplats de l’autre. C’est donc un produit                éco-responsable et durable.

J’ai beaucoup aimé avec mes CP le fait d’avoir cette double mine pour être à la fois précis (et même écrire) avec la mine fine et le fait de pouvoir colorier de large surface comme des fonds, des aplats pour les illustrations de poésie ou des cartes avec la mine large.

Avant je jonglais souvent entre crayons de couleur fins ou gros modèles.

Le fait que l’outil était nouveau et surprenant par sa forme a poussé mes élèves à s’appliquer plus que d’ordinaire.

Ils existent en 3 formats pour les élèves, pochette individuelle de 12 crayons ou packs de classe de 72 ou 144 crayons.

Pourquoi sont-ils innovants ?

Ils s’utilisent à 100% de bout en bout sans déchet. Ils ont été conçus pour être 10 fois plus solide que les crayons de couleur classiques. C’est donc un crayon durable. Je l’ai testé en classe lors de séances de coloriage intensif (Les cartes de fête des mères, des coloriages magiques, des Labyssons) et j’ai été étonné de la résistance à l’usure des mines même fines.

Le crayon ne se taille pas il s’auto-affute au fur et à mesure, fini les « taillures » de crayon au sol, sur les tables ou qui débordent des poubelles. Je valide totalement car l’état du sol de ma classe après des séances d’arts visuels avec 31 élèves me désespère très souvent. Sans compter qu’en CP ou CE1 tailler peut souvent être un jeu et une distraction à la concentration.

Avec sa forme triangulaire (tripode) il est ergonomique et permet une prise en main facile pour les enfants. Pour des élèves Dyspraxiques ou de jeunes élèves de primaire comme mes CP je trouve que c’est un vrai atout.

L’intensité et la variété des coloris. Quand un crayon s’appelle Pep’s on s’attend à de couleurs flashy et pêchues. Et après les avoir testés j’ai été étonné de la vivacité des couleurs mais aussi des variations possibles selon la tonicité de l’appui en coloriant. Il est possible de faire des dégradés surprenants et très vifs en même temps.

Mon utilisation en classe

Voilà trois semaines que je teste les School Pep’s infinity en classe. Le bilan est très positif. Mes élèves adorent ces crayons à double mine et ils commencent à bien apprécier les effets de couleurs en fonction des appuis. Le coloriage est moins pénible pour eux quand ils ont de grandes surfaces à réaliser grâce à la pointe large.

Lors de la réalisation des cartes de fête des mères mes élèves avaient par exemple des coloriages de précision à réaliser et les pointes fines parfaitement biseautées leur ont facilité la tâche. Le résultat était magnifique.

Lors de ce travail de fin de séances en arts visuels mes élèves ont pris un grand soin à réaliser ces coloriages de précision avec les School Pep’s infinity. Les couleurs flashy les ont motivés.

Je pense que les School pep’s infinity peuvent trouver une grande utilité et une durabilité appréciable en classe lors des séances :

¤ d’arts visuels

¤ de géométrie (pour les Pixel art par exemple ou pour des tracés colorés en symétrie)

¤ de Questionner l’espace (Géographie pour les cycle 3) pour les cartes ou les paysages à colorier, de Questionner la matière (Sciences cycle 3) pour les dessins d’expérience

¤ de poésie pour les illustrations

Ou pour toute autre activité qui nécessiterait de colorier, entourer, surligner ou même écrire.

Ma présentation en vidéo

Pour en savoir plus et vous renseigner :

La page dédiée à cette gamme de chez Maped

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Ludiquement vôtre

M Mathieu

Article réalisé en partenariat avec Maped

Ne ratez pas LIBSCO un salon éducatif digital passionnant le 16 octobre

LIBSCO, le salon éducatif qui décloisonne l’éducation, est de retour le 16 octobre 2021

L’école bouge ! Des initiatives développées par des enseignants et des éducateurs passionnés voient le jour un peu partout : diffusion de pédagogies alternatives au sein des classes publiques comme privées, création d’écoles différentes, solutions concrètes pour la prise en compte des troubles de l’apprentissage…

Telle est la mission de LIBSCO, que j’ai découvert cette année, le salon de la liberté pédagogique : repérer sur le terrain les expérimentations et innovations éducatives réussies pour les porter à la connaissance du plus grand nombre. Autant vous dire que vous allez découvrir des formes de pédagogie et des expériences de terrain qui vous donneront aussi envie d’innover!

L’étonnant succès de LIBSCO

La première édition du LIBSCO avait rassemblé près de 1200 visiteurs en 2019, soit presque le double de la fréquentation espérée : enseignants, chercheurs, directeurs d’écoles, acteurs de l’orientation et du soutien scolaire, formateurs et pédagogues, mais aussi parents d’élèves et associations s’étaient pressés au LIBSCO, à la recherche d’expériences concrètes et de partages de bonnes pratiques.

 

 

 

 

Crise sanitaire oblige, l’édition 2021 du LIBSCO est programmée en version digitale pour rester accessible au plus grand nombre. Toujours gratuit, ce salon propose une sélection d’ateliers interactifs, de la maternelle au Bac.

  • Comment faire renouer les élèves avec l’attention et donner du sens à ce qu’ils apprennent ?
  • Repenser l’enseignement de l’anglais ?
  • Que proposer aux familles comme aux établissements en matière d’orientation ?
  • Comment utiliser la méthode de Singapour?
  • Repérer et prendre en compte les troubles DYS
  • intégrer les Réflexes archaïques dans les apprentissages
  • Recourir à la Gestion mentale.

Voilà autant de sujets et de thématiques qui seront abordés lors de cette édition.

 

 

 

 

 

Chaque prise de parole durera 20 à 40 minutes, afin de rester compatible avec le format web.

Point d’orgue du LIBSCO 2 : le débat entre Harold Bernat et François-Xavier Bellamy

La soirée du 16 octobre promet d’être animée avec un débat public entre Harold Bernat, professeur de philosophie, et François-Xavier Bellamy, ancien professeur de la même discipline et député européen. Au cœur de leurs échanges : la formation des professeurs, dont de multiples rapports pointent les manquements sans être pourtant suivis de réformes approfondies, faute de consensus. 

Très éloignés politiquement, ces deux orateurs hors pair, qui pensent l’école de demain, ont accepté de confronter leurs points de vue afin de nourrir le débat éducatif.

Que faut-il réformer dans la formation de nos enseignants ? Comment ?

Et surtout, pour quelle vision de l’école ?

Un débat à ne pas manquer.

Pour en savoir plus et ne pas rater ce très beau salon pédagogique je vous laisse le lien vers sa programmation:www.libsco.fr

Surtout notez bien dans votre calendrier: Libsco , le salon de la liberté pédagogique, le samedi 16 octobre 2021

Ludiquement vôtre

Monsieur Mathieu